L’Organisation mondiale de la santé a exprimé mardi ses regrets pour le meurtre de singes au Brésil. Par craintes de propagation de la variole du singe, bon nombre d’entre d’entre eux ont été empoisonnés.
Le site d’information brésilien G1 a rapporté dimanche que 10 singes avaient été empoisonnés en moins d’une semaine dans la ville de Sao Jose dans l’État de Sao Paulo. Des incidents similaires ont été enregistrés dans d’autres villes.
Le Brésil a une histoire d’attaques contre les singes également pendant les épidémies de fièvre jaune.
Plus de 1 700 cas de variole du singe ont été recensés au Brésil, selon l’OMS.
La contagion peut se produire des animaux aux humains, mais la récente épidémie n’est liée qu’à des contacts humains, a déclaré Harris.
« Les gens ne devraient pas attaquer les animaux », a-t-il ajouté.
